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Devenir une école labélisée « School for rights » ou « Ecole des droits de l’enfant » c’est devenir une école dans laquelle on informe les enfants, les jeunes au sujet de leurs droits en Belgique et de ceux des enfants du monde entier.

Imaginez un monde où il n’y a aucune possibilité de vie privée, de pouvoir s’épanouir en jouant, d’avoir une identité propre, une famille, une éducation et d’être rejeté constamment à cause d’une différence.

Est-ce un monde où nous aimerions vivre? 

Trop souvent, nous avons l’impression que tout est évident et qu’il ne faut pas réfléchir au respect de nos droits. Et pourtant, il y a encore tellement à faire pour rendre certaines situations plus visibles et rendre les enfants et les jeunes plus conscient.e.s de leurs droits et de leurs possibilités.

Nous avons choisi d’utiliser des images un peu piquantes, afin d’attirer l’attention sur notre nouveau site web reprenant les différents outils mis à la disposition des enseignant.e.s afin d’en parler en classe.

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Dans le cadre du projet  Youth for Change de Via Don Bosco, 8 élèves et 2 enseignants sont partis en voyage d’échange en Tanzania afin d’y rencontrer des jeunes de leur âge et de discuter de sujet divers et variés tels que l’interculturalité, les Objectifs du Développement Durable et les droits de l’enfant.

Les 17 objectifs de développement durable (ODD) de l'Agenda 2030 des Nations Unies forment un plan d'action mondial visant à éliminer la pauvreté, à lutter contre les inégalités et à lutter contre le changement climatique. Pour promouvoir ces objectifs en Belgique, la ministre de l'Environnement et du Développement durable, Marie Christine Marghem, nomme pour la troisième année consécutive un certain nombre d'ambassadeurs ou "SDG Voices" sur les conseils de son administration et d'un jury externe. À compter d'aujourd'hui, Rikolto, VIA Don Bosco, le Festival Ubuntu, Johnson & Johnson, Hidrodoe et Fairfin pourraient s'appeler "SDG Voice 2019".

Un dossier pédagogique sur l'égalité des garçons et des filles dans les lieux publics.

Au Burundi, très peu d'enfants et de jeunes vont encore à l'école. Ils/elles sont également exposé.e.s à de nombreux cas d'abus tels que l'exploitation.

Dans ce contexte, KIYO et APRODEM défendent les droits des jeunes en leur donnant la parole et en initiant des processus de changement, tels que la création de «clubs scolares» - clubs de jeunes - supervisés par un enseignant bénévole.

Chaque enfant a le droit de bien vivre sur une planète en bonne santé. Les enfants ont également le droit de s'instruire, de prendre l'air, de s'exprimer, de jouer ... Voulez-vous découvrir en classe quels sont les droits des enfants et permettre à vos enfants de faire l'expérience de ce que cela signifie et de ce que l'on ressent quand vos droits sont violés? C'est possible!

Le 10 mai 2019, une soixantaine de jeunes de Courtrai se sont réunis pour formuler des points d'action autour de 5 thèmes différents pour la ville. Cet événement était le dernier élément après un processus de participation intensif avec un groupe d'étudiants du campus 'Drie Hofsteden', en collaboration avec l'ONG KIYO, Plan International Belgique et la Coalition des droits de l'enfant.